Commandant:Slaydo Sondar : Différence entre versions

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Version du 2 août 2008 à 11:25

Profil
Slaydo Sondar.jpg
Origine Firmament
Age 29
Sexe Homme
Profil Guilde
Coalitions
Coalition:Ordre des Weifürks (membre)


La civilisation Artsondienne

Histoire

Les annales de Vervun ont beau ne remonter qu’au récentes années, ayant été comme toutes autres sérieusement malmenées par les tempêtes magnétique successives, ses chroniques populaires rappellent à tout un chacun les temps immémoriaux comme les quelques siècles précédents, avec plus ou moins de justesse et de crédibilité il est vrai.

Ainsi les récits, pour certains manuscrits ou oraux, nous enseignent-ils que la Maison Sondar fut la souveraine originelle d’une des citées-ruches de Vervun, conglomérat d’usines et d’habitations d’organisation incertaine, dominé par une classe supérieure vivant dans le sommet des immenses spires et composée de familles marchandes. Les contes narrent également la fondation des citées ruches, bien avant une période désignée comme « l’Ere des Luttes », où l’humanité d’une galaxie entière auraient été fractionnée et menacées par des êtres désignés sous le nom de « xenos ».

Par la suite, les légendes prennent le pas, relatant l’unification de la galaxie par un Empereur-Dieu, et son panthéon de Primarques, au sein d’un structure dénommé «Imperium ». Selon la religion majoritaire de Vervun, adorant cet Empereur, l’Imperium se maintint des centaines de siècles face à des menaces constantes, jusqu’à un effondrement militaire total engendrant un chaos sans précédent depuis l’Ere des Luttes dans la galaxie. Ainsi Vervun survit-elle à l’Imperium.

Se maintenant au pouvoir, la Maison Marchande Sondar fut la première de famille de l’aristocratie commerciale planétaire a intégrer les rang de la Guilde Commissionnaire lors de la redécouverte tardive de Vervun, estimée aux alentours de 165 ETU. Conformément à sa tradition, un des premiers actes du Marchand de la Guilde découvrant la planète fut d’émettre un document lourd de pouvoir : le titre de propriété de Vervun, rien de moins !

Une opposition virulente s’avança aussitôt pour contrecarrer les intentions du Marchand de contrôle de Vervun. Les principales familles marchandes vervunoises, la Maison Sondar en tête, gagnant rapidement en influence au sein de la Guilde, elles mirent en commun moyens et relation afin d’exiger l’invalidation du document par la Guilde Commissionnaire. Et contrairement à sa tradition d’immoralité, le conseil de la Guilde se prononça en faveur des Marchands de Vervun, s’accordant ainsi sur le bien fondé du veto posé par Heirimyo Sondar pour déclarer sans valeur le titre de propriété.

Parallèlement à ces faits, les livres de comptes de la Maison Sondar dénotent une nette baisse des réserves monétaires, avec pour seule justification l’annotation « frais judiciaires ».

Ainsi la planète Vervun devint-elle souveraine et le titre de propriété, sans plus de valeur, fut racheté au prix des constituants par le gouvernement planétaire, constitué par l’ensemble des Maisons Marchandes. Les années passèrent, les affaires prospérèrent ou périclitèrent, les fortunes se faisait ou se défaisait, mais les affaires continuaient.

Puis vinrent la dissolution officielle de la Guilde, puis les orages magnétiques, qui réduisirent peu à peu les implication extra planétaires vervunoises, finissant par aboutir sur un isolationnisme profond bien avant la réelle perte des communications galactiques. Ainsi Vervun se replia-t-elle sur elle-même.

Ce repli en soi fut fatal à nombre des Marchands de Vervun, et au final seule la Maison Sondar, ayant gardés ses principaux investissements sur la planète-mère, parvint à subsister économiquement, les autres Maisons Marchandes se muant en une aristocratie sclérosée sans réel poids. A l’arrivée à la tête des Sondar du jeune Slaydo, celui-ci se montra désireux d’acquérir l’ancien titre de propriété de Vervun, à titre de souvenir uniquement laissa-t-on entendre, le document étant légalement sans plus de valeur qu’un rocher.

Ainsi fut-il fait, et pour un prix dérisoire le gouvernement planétaire, ou plutôt ce qu’il en restait, cédât-il le document à Slaydo Sondar, patriarche de la Maison Marchande Sondar. C’est alors qu’en vertu du corps de loi édictée par la Guilde, dénommé le Code Marchand et un des seuls documents à s’être préservé durant ses années troublées , le jeune Slaydo décida de retirer le véto des Sondar sur la validité du document.

Conformément au Code Marchand, rigoureusement conservé dans les archives des Sondar, le titre de propriété de la planète Vervun fut réinvestit de son pouvoir premier, faisant de Slaydo Sondar, et par extension la Maison Sondar, propriétaire légitime de Vervun.

Gouvernement

Le gouvernement est officiellement constitué d’un conseil de Maisons Marchandes, ne se préoccupants dans les faits que de leurs affaires internes, laissant l’administration gérer les populations. Mais la propriété planétaire accorde à la Maison Sondar un rang bien au-dessus des autres Maisons Marchandes, faisant du Patriarche Sondar le réel gouvernant.

La population est officiellement représenté dans une assemblé planétaire, mais là comme ailleurs les « représentants » s’embourbent dans des luttes d’intérêts, d’ailleurs peu convaincante étant donnée que la Maison Sondar verrouille l’ensemble du système. De fait, il existe un gouvernement officieux mais réel, et auquel tous savent s’adresser, tout du moins tout ceux étant susceptibles d’avoir un poids politique réel ou des besoins légitimes.

Société

Groupée dans les citées-ruches de la planète, la majorité de la population se compose d’hommes de peine, les ouvriers peu ou pas qualifié faisant tourner les centres de production. Bien que leur situation aillent en s’améliorant après des siècles de stagnation, cette partie de la société reste dans une situation préoccupante. Ils n’ont accès en général qu’à la nourriture fournie par les cuves hydroponiques, nourrissante certes mais sans autre vertu.

Cependant, loin de se laisser aller à une reproduction sociale, cette classe forme le pilier et le moteur de la société artsondienne, dans les deux cas par son nombre. En effet, indispensable en tant que main d’œuvre, elle se révèle également incontournable par son rôle de vivier à talent. L’éducation certes sommaire permet en effet d’y repérer les talents méritant d’être soutenus, les Maisons Marchandes rivalisant en dépenses pour repérer les « éléments remarquables » de la masse.

Ainsi le plus modeste peut se voir accorder de vertigineuses promotions pour peu qu’il s’en montre digne ou tout du moins prometteur. De même, la classe moyenne, habituel ciment de tout régime, se trouve grossie par le flux des moins bien nantis et dynamisées par eux autant que par l’espoir d’être non plus employé par les Maisons mais intégré en elles, de tels mouvements étant fréquents.

C’est donc une promesse réel d’ascension au mérite, contrôlé cependant par les hautes sphères, qui garantit dynamisme et stabilité aux sociétés artsondiennes.


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