Hacking et piratage
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ATTENTION ! La mécanique des piratages a été modifiées et la majorité des informations présentes ici ne sont plus exactes. Pour les nouveaux piratages, référez vous au sujet sur le forum externe :
https://forum.apocalypsis.org/viewtopic.php?f=7&t=12067
Sommaire
Piratage commercial
Le piratage commercial consiste à attaquer des flottes commerciales (Vaisseaux marchand d'élite (VME) ou transporteurs). On utilise pour cela des frégates corsaires, qui pirateront toutes les flottes, amies comme ennemies, qui passeront dans le système durant les 24 heures que durera l'opération. Cette opération rapporte de l'argent, ou des ressources et unités, selon la stratégie choisie. Enfin, elle est anonyme ou non, selon la stratégie choisie.
Lors d'un piratage, les vaisseaux ciblés peuvent tenter de fuir. Il semble que cela dépende des niveaux technologiques respectifs du renégat (technologies secret défense) et de sa cible (Sécurité informatique basique et suivantes).
Lors de l'abordage, un combat se déroulera entre les deux flottes. Les résultats dépendent des mêmes facteurs qu'un combat standard (coefficient offensif et niveau de secret-défense du pirate). Afin d'éviter de perdre face à des flottes trop importantes, le renégat peut spécifier une taille maximale pour les convois à attaquer.
Retour du butin à la capitale
Dans cette stratégie, les vaisseaux seront attaqués, détruits, et le butin ramené par les frégates à votre capitale. Cette opération n'est pas anonyme. Le butin récolté sera bien sûr celui transporté par les cargos détruits, qu'il s'agisse de leems, d'unités, de ressources, etc...
Blanchiment à la contrebande
Dans cette stratégie, les VME de la cible seront reprogrammés pour aller vendre leur cargaison à la contrebande, aux prix courants de celle-ci (notez que les leems qui pourraient éventuellement avoir été convoyés seront simplement perdus). Le fruit de la vente sera ensuite reversé à votre compte en banque, après quoi les VME demeureront sur place, en orbite de la contrebande, inutilisables (vous n'avez pas les technologies nécessaires pour les déplacer). Si seuls des VME sont attaqués, l'opération est anonyme.
Attention ! Par défaut, vos frégates attaqueront toutes les flottes commerciales. Si certaines sont constituées de transporteurs classiques, et non de VME, alors la stratégie adoptée sera le retour du butin à la capitale, ce qui rompra votre anonymat. Pour n'attaquer que les flottes composées de VME, cochez la case correspondante. Notez qu'une flotte commerciale ne peut pas être mixte : elle est soit composée de VME soit de transporteurs classiques, pas des deux à la fois.
Pour conserver l'anonymat, rien de tel que de pratiquer vos piratages dans un lieu fréquenté. Par exemple, en orbite des centres de contrebande, là où de nombreux comandants stationnent des flottes, dont plusieurs renégats, et où de nombreuses flottes commerciales transitent, ne serait-ce que pour s'approvisionner à la contrebande.
Eviemment, les chances sont grandes qu'il s'y trouve également un alliantiste tout prêt à examiner les flottes en présence pour trouver qui y stationne quoi. Avant tout, vos frégates corsaires peuvent vous trahir. Si une de vos victimes a été piratée au milieu des 24 heures qu'a duré le piratage, quand vos frégates redeviennent libres il s'est déjà écoulé douze heures. En fait, il se pourrait même qu'un alliantiste procède à des espionnages préventifs et vous découvre avant même que vous n'ayiez commencé les 24 heures de piratage. Il va donc vous falloir un peu de chance et de la réactivité. Pour éviter d'être découvert, déplacez vos flottes dès que possible et aussi rapidement que posible.
Enfin, les VME qui resteront en orbite de la contrebande posent eux aussi problème. Imaginez par exemple que votre cible ait perdu 1789 VME et que l'on vous découvre avec 1789 VME en ce point. Le rapporochement est vite fait... Pour éviter cela, vous devez évacuer ces VME avec un transfert commercial. Soit directement par un guildien, soit d'abord avec vos propres transporteurs qui éloigneront les VME du lieu du méfait pour ensuite les revendre à un guildéen. La seconde solution vous permet de ne pas attendre que votre guildien préféré réagisse, mais celui-ci pourrait dans l'absolu les évacuer plus rapidement.
Pillage planétaire
Cette opération sert à voler des ressources mais aussi, éventuellement, selon la stratégie adoptée, à saccager la planète ciblée. Cette stratégie déterminera également si, oui ou non, le pillage sera anonyme. Les biens sont volés à la population, et non à l'Etat. Autrement dit, il est possible de piller ses propres planètes, de détrousser sa propre population pour enrichir ses caisses.
Attention : contrairement aux autres ordres offensifs, on ne peut lancer qu'un seul pillage par planète tant que le dernier n'est pas terminé.
Cette opération équivaut à une invasion et se déroule donc comme telle, prenant en compte les défenses de la planète, les facteurs offensifs, etc. Toutefois, la force nécessaire pour mener à bien cette action est moins importante que pour une invasion normale et les pertes plus réduites. Mais dans la mesure où les frégates corsaires sont peu rentables en tant qu'unité offensive, la présence de seulement quelques bunkers suffit à rendre très coûteuse l'opération.
Les ressources pillées distinguent deux types de ressources : les leems et le reste.
- Concernant les leems, les quantités sont généralement importantes (jusqu'à un milliard et demi) et dépendent de la population de la planète.
- Concernant les autres ressources, les quantités sont généralement faibles (quelques millions pour un pillage chirurgical avec de très nombreuses frégates) et dépendent du climat de la planète : une luxuriante fournira avant tout de l'énergie, une aride des diamants, etc. Il semble que ce butin dépende également du nombre de frégates envoyées.
Pillage chirurgical
Dans le cadre de cette stratégie, le seul but est de voler des ressources sans causer aucune destruction. Des deux stratégies, celle-ci est anonyme, plus facile sur le plan militaire (flottes nécessaires et pertes moins importantes), et récompensée d'un meilleur butin.
Notez que les planètes vierges (qui ne sont possédées par aucun joueur) sont traitée d'une façon particulière pour rendre les piratages encore plsu faciles. Sur celles-ci, le butin est d'environ 500 millions de leems.
Pillage violent
Le but de ce pillage est avant tout de saccager la planète ennemie, dans le cadre d'une guerre. Des bâtiments seront détruits et le bonheur baissera d'environ 10 points. Cette opération n'est pas anonyme, plus difficle militairement que le pillage chrirurgical, causera plus de pertes parmi vos frégates corsaires et rapportera moins de butin.
A l'heure actuelle, l'intérêt de ces pillages reste limité. En effet, les frégates corsaires disposent certes d'un avantage militaires pour réaliser un pillage par rapport à une flotte d'invasion mais, du fait de leur faible rapport coût/efficacité en tant qu'unité militaire, il vous faudra face à une même défense une flotte bien plus coûteuse pour réaliser un tel pillage qu'une flotte normale pour réaliser une invasion.
Cependant, elles demeurent intéressantes sur un plan : si vous-même guerroyez contre un adversaire avec de très nombreuses planètes et que pour une raison ou une autre vous ne voulez pas vous emparer de ses planètes, vous pouvez grâce à ces pillages provoquer des insurrections chez lui. En effet, la stabilité politique ne concerne pas les planètes exceptionnellement heureuses (seuil supposé : 90% de bonheur planétaire) et il est en pratique fréquent que ces commandants tiennent leur empire en ayant de nombreuses planètes aussi fanatiques. En attaquant quelques unes de celles-ci, vous provoquerez des insurrections chez lui qui pourraient lui faire perdre de nombreuses planètes (à vérifier : les planètes exceptionnellement heureuses s'insurgent-elles ?).
Infiltration et détournement
Les infiltrations et détournements sont deux phases d'une seule et même opération consistant à détourner de l'argent des comptes bancaire d'une victime, par le biais de hackers d'élite Drakaan.
Dans un premier temps, le renégat infiltre ses hackers sur une planète (quelle qu'elle soit : seul le propriétaire importe), ce qui prend 48 heures. Après cela, les hackers sont à nouveau libres et reviennent avec des codes d'accès valables 72 heures. Durant cette seconde période, le renégat peut surveiller l'évolution des comptes bancaires de la victime. Quand il le juge opportun, il ordonne enfin le détournement des fonds présents sur le compte, ce qui est instantané. Les codes cessent alors d'être valables et il faudra reprocéder à une infiltration.
Lors du détournement, le pirate peut détourner jusqu'à 50.000 £ par hacker. Par ailleurs, non seulement l'opération est anonyme mais le pirate peut, en plus, après l'infiltration, déplacer ses hackers vers un autre système avant de procéder au détournement. Il peut donc rendre son activité totalement indétectable.
La difficulté de l'infiltration dépend des niveaux technologiques (technologies secret défense d'une part et, d'autre part, sécurité informatique basique et suivantes) et du nombre de planètes de chacune des deux parties. Plus la cible a de planètes, plus il est facile de l'infiltrer. Plus le renégat a de planètes, plus il lui est difficile de s'infiltrer. Ceci empêche les "gros" commandants très avancés d'infiltrer les petits, tandis que la réciproque est vraie.
Seule l'infiltration peut échouer, pas le détournement. Si l'infiltration échoue, l'opération reste anonyme mais le renégat perd les trois quarts de ses hackers. Au contraire, s'il réussit, il ne connaît aucune perte.
